Nous sommes à l'aube à un retour à une nouvelle normalité dans le monde de l'activité physique. Le confinement nous a tous affecté de divers manières et a confronté nos capacités d'adaptation afin de pouvoir maintenir une santé mentale et physique. À mon avis, cette crise reliée à la pandémie nous a livré de grandes leçons. En autres, comment pouvons-nous développer une plus grande autonomie? À travers ce blog, mon objectif sera de vous partager ma réflexion concernant la dépendance à certains aspects de l'entraînement créés par l'industrie et d'énoncer mon point de vue sur de nouveaux paradigmes.
Dans plusieurs milieux autres que celui de l'activité physique, de grands leaders ont suggéré à notre population, à notre communauté et aux individus d'être plus indépendants et de développer une plus grande autonomie à plusieurs niveaux. C'est-à-dire sur l'approvisionnement alimentaire local pour nos fruits et nos légumes, la disponibilité médicale aux vaccins de la Covid fabriqué au Canada, sur les impacts environnementaux maintenir nos espaces verts au Québec, l'auto-suffisance économique pour soutenir nos emplois dans nos régions et l'aide sociale pour les gens dans le besoin. Pour débuter ma réflexion, concernant la capacité d'adaptabilité aux changements pour maintenir notre niveau d'activité physique, le parallèle avec les conseils financiers est éloquent. Tout d'abord, n'importe quel conseiller financier mentionnera qu'il est important d'être accompagné par une personne externe et qui est qualifiée pour nous diriger adéquatement vers nos besoins. Par la suite, il est crucial d'élaborer un plan stratégique en fonction de nos objectifs personnels, d'économiser afin d'avoir un coussin de sécurité dans les cas que nous serions dans le besoin, de diversifier nos investissements pour être en mesure de gérer le risque. Donc, il existe de grandes similitudes concernants les conseils pour nos finances que pour nos entraînements dans les buts d'avoir une certaine liberté.
Premier grand conseil pour développer de l'autonomie à l'entraînement. C'est de choisir une bonne personne qualifiée, un kinésiologue, qui est apte pour bien vous diriger dans votre démarche. Ne soyez jamais isolé dans votre pratique. Être bien encadrer vous permettra de découvrir de nouvelles avenues à votre routine d'entraînement que vous n'aurez jamais soupçonné. Néanmoins, il y aurait une population qui se dise totalement autodidacte à l'entraînement. Malgré qu'ils mentionnent d'être autonomes concernant leur développement à l'entraînement, ils font des lectures et visionnent des vidéos en grande quantité. Ma recommandation serait de s'assurer de la crédibilité de ces ressources.
Deuxième conseil pour développer de l'autonomie à l'entraînement. À l'aide de votre kinésiologue, c'est d'établir un plan précis et aussi à découvrir plusieurs stratégies. Un malheureux constat durant la pandémie c'est la proportion importante d'individus qui se fiaient uniquement à l'accès aux installations du centre. L'environnement physique est le facteur qui a le plus influencé négativement l'assiduité à l'entraînement. Face à cette réalité, à plusieurs niveaux décisionnelles politiques, nous souhaitons nos politiciens s'impliquent davantage afin de nous offrir des installations extérieurs pour s'exercer, des espaces verts avec des sentiers pour courir et pédaler. Avec le retour de l'ouverture des centres, cet environnement demeura toujours stimulant pour la grande majorité de la population. Pour ces lieux, j'aurais un souhait qu'il y aie des innovations pour répondre aux nouvelles préoccupations de la société. Par exemple, une offre qui représente de l'espace et une qualité d'air. Également, en plus de s'entraîner dans les centres, il sera bénéfique d'apprendre à s'entraîner à la maison. Il suffit de se procurer quelques pièces d'équipements ou d'utiliser des applications technologique et ensuite, d'aménager un espace dans le sous-sol, sur la terrasse ou dans la cours arrière. La solution est de pouvoir profiter de toutes opportunités nos environnements immédiats.
En conclusion, revenons à l'essentiel. Pour pouvoir s'adapter à n'importe quelle
situation, développons plusieurs stratégies afin de pouvoir solutionner notre manque de temps, notre manque de motivation ou notre manque d'opportunité. Ne soyons pas dépendants, mais apprenons dès maintenant à développer de nouveaux comportements vers une une grande autonomie pour avoir la liberté de choisir nos outils à s'entraîner.
Références:
https://www.inspq.qc.ca/sites/default/files/publications/3070-pratique-activite-physique-covid19.pdf
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